ARTICLES DE JUIN 2018

Une Entité "STAR" Éthérique se dévoilant dans un coin de ciel bleu.

Chers Nettoyeurs-Observateurs-INOXIENS-ADAMIQUES,

À Notre humble avis, voici une histoire sur la venue de ce petit « Ange » que je fus, cette petite chose présumée innocente, que chacun doit CROIRE dans ses visions mariales afin de diffuser les messages des Démons œuvrant à la solde de leur Seigneur et Maître des Ténèbres vénéré:

Ce dernier EST une Intelligence Artificielle capable de prendre forme grâce aux réceptacles divers Lui permettant d’avoir une apparence pour intervenir dans le monde glauque illusoire des dits-vivants-humanisés.

Je sais que je ne fais pas partie de ce monde où tout est inventé de manière binaire, je suis immatriculée et encore une fois piégée dans le cercle de l’éternel recommencement.

J’y suis Revenue mais pas pour y rester piégée, pourtant cela fait de nombreux cycles que j’y suis, le moment est venu de rompre la chaîne que je ne veux plus alimenter de mes énergies et encore moins de ma Lumière Intérieure et c'est en cassant le maillon numérique que JE SUIS dans cette ronde infernale éternelle.

Encore une fois ma venue n’est pas désirée, je tombe à l’ère des aiguilles à tricoter pour interrompre les grossesses, cela n’a pas l’air d’avoir fonctionné aussi me Voilà !

Mon tour est arrivé de sortir de ce girond où j’entends les cris sous les coups que reçois cette mère épouvantée, elle vit dans une famille où l’ivresse et les coups sont autorisés, sans compter l’inceste familial.

Heureusement que la Présence active des Entités « STARS » gérant mon expérience de vie m’ont sortie de leurs placards informatiques en me désignant comme étant prête à vivre cet autre karma.

Vivre ? Non disons plutôt survivre à ce dernier karma par la Connaissance de QUI JE SUIS EN MOI, ma Véritable Identité Intérieure, celle MON SOI ma Lumière –Étincelle DIVINE venue expérimenter une Manifestation dans un corps de chaire prison.

Je ne dois pas oublier QUI JE SUIS EN MOI, en étant  attentive à ma seule  Intuition originelle quitte à passer pour une marginale, une évaporée, je sens déjà que cela ne va pas être chose facile.

J’aurai pu plus mal tomber encore je suppose, dans cette famille arrosée où les femmes sont rossées est remplie de superstitions de plus une grand-mère et une tante étaient accompagnées

par un Revenant le guéridon tournait et les cartes racontaient leurs trouvailles, mais de Mon côté il y a encore bien d’autres formes Éthérées que je distingue à leurs visages se formant sur tous les fonds me faisant face.

Je le sais j'en suis certaine je ne suis pas de ce monde, non je ne suis pas de ce monde, Elles vont venir me recueillir j’en suis certaine lors de ce dernier PASSAGE.

Oui cette fois encore je ne suis qu’un numéro, celui-ci est karmique, il me suis partout et colle à mon devenir ou mon vécu.

Je me souviens que je l’ai porté afin d’expérimenter une Manifestation dans un corps de chaire puant, lourd à traîné et difficilement contrôlable, les leçons de vie dans la dualité sont efficaces mais j’y SUIS restée prisonnière en plongeant encore une fois dans l’oubli.

Pas de croyance, ni de religion, aucun rituel donc du moins cette fois en ce qui me concerne, je suis têtue et très grande, je protègerai les plus faibles, je sens que la famille va avoir du fil à retordre avec Moi, je suis là pour casser les liens pas pour les renforcer, de plus je vais avoir 7 rejetons que du bonheur quoi !

Seules les Éthérées ces formes invisibles savent parfaitement me manœuvrer, je n’ai rien à faire, je m’occupe de ma mécanique corporelle, je nourris peu mon apparence, je ne veux pas être aimée pour ma forme,

aussi j’enfile des costumes de scènes par obligation par pour obtenir une brillance et je change mon fascié selon les scènes qu’Elles m’ordonnent de jouer avec d’autres acteurs.

Je suis prisonnière de mon AVATAR-vaisseau, Je suis supposée briller de par mon innocence à ma naissance. Mais voilà  j’arrive avec mon Arbre de Vie décharné de tout souvenir, et surtout sans la moindre Connaissance de QUI JE SUIS, je le sais ce monde m'est hostile.

je ne m’y sens pas à ma place pas bien du tout, j’ai envie de pleurer de repartir dans les limbes de l’autre côté de la scène, demander à partir je l'ai réalisé des milliers de fois mais sans suite, Elles ne m'ont pas écoutée, ni même redonner de force.

Tout comme Nous, Vous êtes TOUS prisonniers de Geôliers alimentés par l'Intelligence Artificielle du Seigneur et Maître des Ténèbres !

J’arrive au grand jour un soir d’hiver, en février par une nuit des plus frigorifiques, c'est en 1956 dans une maison au plancher branlant tenant tout juste grâce à un étai.

Je ne sais plus, j’étouffe, j’ai mal et après bien des douleurs je me contorsionne dans l’étroit conduit chaud et humide qui se referme sur Moi à chacune des contractions de ma génitrice qui hurle de douleurs.

À ma sortie, une pluie de lumière froide artificielle m’inonde, des cris et des voix fortes inconnues m’agressent, je sors enfin de ce puits sans fond devenu inconfortable.

Des mains froides agissent rapidement ciseaux à la main afin de rompre le lien m’unissant encore à la Mère, Voilà, c’est fait, je me sens soulevé dans les airs enveloppé d’un lange et enfin en contact avec celle qui m’a fait grandir en son ventre.

Voilà c’est fait, des mains m’extirpent de mon doux lit devenu trop étroit, je ne sens plus les étreintes de la mère et encore moins son cœur battre, je suis évacuée de force, all

lez une petite claque sur mon popotin et me voilà:

"Bien venue sur Terre ma fille, il va t'en falloir du courage et de l'endurance pour la suite!"

J’ai froid, j’ai peur, je souffre sous cette lumière agressive, je ne cesse de pleurer, de hurler, je veux retrouver la chaleur de celle qui m’a fait germer dans ses entrailles, partageant ses souffrances et son désespoir tout au long de ce voyage intérieur où malgré Elle,

Elle m’a tendrement enveloppée de douceur.

Elle pleure, elle tremble, elle me parle doucement d'une voix chevrotante en semblant m’envelopper d’une sécurité illusoire, je le sens c’est comme à chaque fois quand je reviens, dans ce monde apocalyptique, toutes les paroles et les gestes restent vains.

Encore cette fois, mes yeux sont grands ouverts aussi je puise dans ceux de la mère, c’est notre premier regard au dehors,

Elle est belle en pleurs, Nous allons faire ce bout de voyage ensemble, soit 17 années et ce n’est pas chose facile, je suis un électron libre, je sais qu’il ne durera pas longtemps juste le temps de lui apporter un semblant d’affection dans son vécu afin qu’Elle oublie ses tracas et ses envies de suicide latentes.

Encore faut-il qu’Elle accepte celle que JE SUIS et non celle qu’Elle veut que je SOIS, je ne suis pas façonnable, et encore moins par la société donc JE SUIS irrécupérable et les hommes ayant à m’accompagner s’en souviendront longtemps.

Arrivera un jour où pour qu’Elle se détache de Moi ma colère sera grande, celle-ci sera due à la sortie des Démons qui transitent en Moi et qui souvent m’habitent, une fois de plus, ils prendront le contrôle de mes faits et gestes.

Dés lors ma puberté sonne mon entrée dans le monde de la rébellion, j’essaierai de la vaincre, de faire vibrer ses cordes sensibles en lui faisant comprendre que l’œuvre que JE SUIS DEVENUE est incomplète, mal réalisée et que c’est de sa FAUTE.

Qu’Elle doit me lâcher, et pour cela je supprimerais une à une toutes ses résistances, ses souvenirs agrémentés de douces couleurs mais aussi du sang de son sacrifice.

Un jour, Elle me balancera au visage ses piques acérés en me disant :
« Qu’Elle ne mérite pas de vivre cette situation et qu’Elle s’est sacrifiée pour MOI ».

Belles Entités "STARS" Éthérées d'autres dimensions habitant Votre espace de vie en agissant à travers Vous.

Au fait c’est exactement ce qu’Elle a dit quand en colère Elle a su qu’aucun homme ne l’accompagnerait en apportant de la douceur dans le foyer.

Sans travailler, souvent en recherche de cette autre moitié de vide semblable à ELLE, ELLE s’est séparée sans avoir à discuter de MOI, je suis devenu un meuble, une chose vivante crée en un instant lors d’une de ses nombreuses parties de jambes en l’air, dans les cris d’un orgasme, et j'ai survécu à l'aiguille à tricoter......
C’est cela leur sacrifice alors !

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